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... et ensuite : Wilcox Beveridge Gonnard est né à Los Angeles le 2 janvier 1900. Il est entré au LAPD le jour de ses 26 ans et a quitté les forces de police en 1962, date de son suicide suite à la mort dramatique de sa fille. Soit 36 années de service au sein de la police la plus violente et la plus corrompue du monde, selon les observateurs de l’époque. Durant sa carrière, l’industrie cinématographique hollywoodienne a produit plus de films qu’il n’y a d’étoiles dans le ciel, elle a hissé au firmament des centaines de stars et a enterré autant de cadavres souillés de scandales. Ce roman est donc le premier d'une série d'enquêtes menées par le détective Will Gonnard : il m'en reste 35 à écrire, une par année que Gonnard a vécu à Hollywood, et chaque tome portera le titre d’un film sorti cette année-là.
Extrait n°1 Les scénaristes pages 9-10-11
Extrait n°4 Les Nababs pages 133-134
et ensuite...LA PROIE DU MORT
retour accueil Haut de pageTéléchargez le roman
Extrait n°2 Miss Borxman ? pages 98-99
Extrait n°3 L'enquête pages 108-109
La Proie du Mort en intégralité. La présentation est la même que dans les extraits : 2 pages sur un A4 paysage (façon livre de poche). Vous pouvez également l’imprimer, et je ne me sentirais pas vexé si vous le faites sur du papier recyclé ou déjà imprimé sur une face. Bonne lecture. Format PDF, 182 pages (92 imprimées), 864Ko
Si vous n’aimez pas le cinéma américain de l’Age d’or hollywoodien, si vous n’avez jamais enregistré compulsivement le Cinéma de Minuit, à l’époque où les films étaient encore rarement diffusés à la télé, si vous n’avez jamais succombé au charme de ces comédies trépidantes, de ces drames flamboyants, de ces polars au cordeau, alors ce roman, noir comme l’obscurité d’une salle avant l’étincellement de la première image sur l’écran, vous conduira sans doute vers un lieu inconnu… et merveilleux ? A voir, car j’explore aussi l’envers du décor (Hollywood without make-up ! proclamait le titre d’un bouquin d’époque à propos des scandales, crimes et rumeurs au sein de l’industrie cinématographique) avec ceux qui y travaillaient, qui y gagnaient la célébrité et y perdaient la vie. Mais pourquoi cette ville n’attirait elle que les personnes qui la détestaient profondément, comme lui même? Et pourquoi coupait-elle irrémédiablement les ailes des anges qui s’y posaient? se demande Will Gonnard. Existe-t-il un lieu au monde et une époque avec son énergie créatrice, son innocence et sa violence, plus passionnante ? Moi, j’ai mon opinion. Et j’en ai fait un roman.
Novembre 1941, Los Angeles. Après une nuit de planque à espionner la star déclinante Marlène Dietrich et son nouvel amant latino pour le compte de Louis B. Mayer, Will Gonnard subit la fureur d'un autre patron de studio, Harry Cohn, qu'un scénariste dans la débine essaye de faire chanter. Cohn veut que Gonnard découvre d'où ce médiocre écrivaillon de la côte Est tire ses informations compromettantes puis le réduise au silence, de gré ou de force. En sortant du studio de la Columbia, le détective Will Gonnard de la Brigade des Homicides, se rend au poste du LAPD d’Hollywood Centre, au cœur de cette ville parée des artifices les plus glamours, dansant au bord d’un chaos de violence que les policiers comme Gonnard ne parviennent à endiguer qu’en déchaînant parfois la leur. Mais des agents du FBI rodent depuis des mois et traquent les flics corrompus dans de vieilles affaires nauséabondes. Alors Gonnard se charge de l’enquête sur le seul crime de la nuit précédente, un meurtre sans mobile ni coupable, un cadavre inconnu au visage atrocement mutilé découvert dans un terrain vague sur Santa Monica Boulevard. Trouver l'assassin de cette victime déjà oubliée n’est qu’un prétexte pour éviter d'affronter les hommes de Hoover. Pourtant, cette affaire sans importance va le mener sur les traces d’un tueur amateur de scalps surnommé l’Apache par la presse avide de sang frais. Et celle du scénariste révèle peu à peu un complot visant à réduire l’industrie cinématographique sous la botte fasciste. Flic intègre autant qu’on peut l’être à LA, haï par la plupart des vedettes, choyé par leurs employeurs, traqué par les Feds, sa trajectoire croise celle d’une actrice qu’il aurait pu aimer si ses propres fantômes lui laissaient un répit. Jusqu’à l’embrasement final.
decriture
Thierry EMMANUEL
Accueil Romans Les porteurs de lanternes La proie du mort Bully l'Indépendant Scénarios ROBUR le Conquérant Les Fils d'Arianne L'Odyssée de l'Endurance Le Rôdeur La Peau de Chagrin L'aventure extraordinaire de Monsieur Jules Verne MAJOR TOM Le Syndrome de Stockholm RONIN 0.1 L'endormeuse La Tour et le Dinosaure Jérémie Les Contes d'Urval Le Bigame de Séville Les Petits Hommes Animation ESCLARMONDE Nouvelles Le Dragon La quarante-troisième colonne Le jour d'après Votez pour... Hokchmills Hurricana et Pariso Egouts La Tempête L'histoire de Butch Le premier hybride Wooden's Lot Bon Séjour à Beaurivage Berkeley Comment apprivoiser un démon QWERTYOP 249B, 35ième rue est, N.Y. L'Age d'Or Dimieni Ordoreanu Contact
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Extrait n°3 L'enquête pages 108-109
La Proie du Mort en intégralité. La présentation est la même que dans les extraits : 2 pages sur un A4 paysage (façon livre de poche). Vous pouvez également l’imprimer, et je ne me sentirais pas vexé si vous le faites sur du papier recyclé ou déjà imprimé sur une face. Bonne lecture. Format PDF, 182 pages (92 imprimées), 864Ko
Si vous n’aimez pas le cinéma américain de l’Age d’or hollywoodien, si vous n’avez jamais enregistré compulsivement le Cinéma de Minuit, à l’époque où les films étaient encore rarement diffusés à la télé, si vous n’avez jamais succombé au charme de ces comédies trépidantes, de ces drames flamboyants, de ces polars au cordeau, alors ce roman, noir comme l’obscurité d’une salle avant l’étincellement de la première image sur l’écran, vous conduira sans doute vers un lieu inconnu… et merveilleux ? A voir, car j’explore aussi l’envers du décor (Hollywood without make-up ! proclamait le titre d’un bouquin d’époque à propos des scandales, crimes et rumeurs au sein de l’industrie cinématographique) avec ceux qui y travaillaient, qui y gagnaient la célébrité et y perdaient la vie. Mais pourquoi cette ville n’attirait elle que les personnes qui la détestaient profondément, comme lui même? Et pourquoi coupait-elle irrémédiablement les ailes des anges qui s’y posaient? se demande Will Gonnard. Existe-t-il un lieu au monde et une époque avec son énergie créatrice, son innocence et sa violence, plus passionnante ? Moi, j’ai mon opinion. Et j’en ai fait un roman.
Novembre 1941, Los Angeles. Après une nuit de planque à espionner la star déclinante Marlène Dietrich et son nouvel amant latino pour le compte de Louis B. Mayer, Will Gonnard subit la fureur d'un autre patron de studio, Harry Cohn, qu'un scénariste dans la débine essaye de faire chanter. Cohn veut que Gonnard découvre d'où ce médiocre écrivaillon de la côte Est tire ses informations compromettantes puis le réduise au silence, de gré ou de force. En sortant du studio de la Columbia, le détective Will Gonnard de la Brigade des Homicides, se rend au poste du LAPD d’Hollywood Centre, au cœur de cette ville parée des artifices les plus glamours, dansant au bord d’un chaos de violence que les policiers comme Gonnard ne parviennent à endiguer qu’en déchaînant parfois la leur. Mais des agents du FBI rodent depuis des mois et traquent les flics corrompus dans de vieilles affaires nauséabondes. Alors Gonnard se charge de l’enquête sur le seul crime de la nuit précédente, un meurtre sans mobile ni coupable, un cadavre inconnu au visage atrocement mutilé découvert dans un terrain vague sur Santa Monica Boulevard. Trouver l'assassin de cette victime déjà oubliée n’est qu’un prétexte pour éviter d'affronter les hommes de Hoover. Pourtant, cette affaire sans importance va le mener sur les traces d’un tueur amateur de scalps surnommé l’Apache par la presse avide de sang frais. Et celle du scénariste révèle peu à peu un complot visant à réduire l’industrie cinématographique sous la botte fasciste. Flic intègre autant qu’on peut l’être à LA, haï par la plupart des vedettes, choyé par leurs employeurs, traqué par les Feds, sa trajectoire croise celle d’une actrice qu’il aurait pu aimer si ses propres fantômes lui laissaient un répit. Jusqu’à l’embrasement final.
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